Alejandra Pizarnik ou l'obsession de la prose (Maison de l'Amérique Latine, Paris 5 décembre 2012) C’est grâce au poète et traducteur belge Fernand Verhesen que j’ai découvert Alejandra Pizarnik en 1974. Il me fit parvenir, sous forme d’une élégante plaquette,...
Lire la suiteVient de paraître traduction Jacques Ancet Ypsilon.éditeur Les voix dans la voix La douleur est une chose très musicale. Paul Valéry Commencer par la fin a-t-il un sens ? Par L’enfer musical, ce recueil de 1971, qui clôt le cycle des livres publiés par...
Lire la suiteVient de paraître: traduit par Jacques Ancet Ypsilon.éditeur DIALOGUES — Celle en noir qui sourit depuis la fenêtre du tramway ressemble à Mme. Lamort — dit-elle. — Ça n’est pas possible, à Paris il n’y a pas de tramways. De plus, celle en noir du tramway...
Lire la suiteEdition à la demande, disponible dans toutes les librairies, diffusion Hachette Livre. PARLER LA DOULEUR (extrait de la préface) — Oui, je suppose que se relire a à voir avec la mort. C'est un peu ça : un mort qui se revoit vivant et ne peut plus parler...
Lire la suiteIl en va de certains livres comme de certains enfants : l’amour les a engendrés et, quelque soit leur âge, l’amour les accompagne. Celui-ci a près de trente ans. Ce qui est beaucoup et, en même temps, peu de chose. Car, s’il a su garder, s’il sait porter...
Lire la suiteOn entre dans un nouveau silence.On ne sait pas s’il a un nom.La neige le recouvre et l’éclaire.On ne sait rien. On ne saisit qu’unmouvement de doigt dans la lumière,un visage, la pause d’un pied, On entre dans ce qu’on ne sait pas. * Dans ce qu’on ne...
Lire la suiteDEUX FRAGMENTS POUR UN ADIEU Pour Bernard, pour qu’il nous accompagne encore un peu... I Il s’est arrêté devant la mer.Il regarde plus loin que ses yeux.Il n’a jamais connu d’instant aussi parfait : la tiédeur du soleil, l’air légeret cette mouette qui...
Lire la suiteOn peut écouter l'hommage à Henri Meschonnic enregistré le 21 avril 2012 au Petit Palais à Paris, dans le cadre des rencontres de la Maison des écrivains et de la littérature, à cette adresse: http://www.franceculture.fr/hommage-a-henri-meschonnic
Lire la suiteCOMME SI DE RIEN L'Amourier, juin 2012 Il y a le temps. On ne sait pas. On y est, il vous traverse. On ne sait rien. On se retourne et que voit-on ? Un chemin ? Moins, peut-être, des traces qui se perdent. Moins, encore, ce miroitement évaporé. Comme...
Lire la suiteVIENT DE PARAÎTRE GENÈSE suivi de DOMAINE DE L'OMBRE Traduit par Jacques Ancet L'œuvre de Manuel Álvarez Ortega (né à Cordoue en 1923) est considérable , (trente-sept livres de poèmes publiés entre 1941 et 2007, sans compter les inédits). J'ignorais,...
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